Debenham, Mary Elizabeth2014-08-182014-08-181960http://hdl.handle.net/10092/9506http://dx.doi.org/10.26021/5017“J’ai beaucorp réfléchi à la vocation.” Dit le curé de Torcy du Journal d’un curé de champagne. “Nous sommes tous appelés, soit, seulement pas de la meme manière. “ Dans un sens tout a une vocation, mais d’habitude le mot veut dire un appel de Dieu à suivre une voie etroite et difficile don’t le but est la perfection, la sainteté. Ceux qui entrent dans un ordre religieux se retirent du monde pour vivre selon une règle qui doit les mener a cette perfection. Mais ce qui interesse particulierement les romanciers et les dramaturges, c’est la vocation qu’on suit au dhors d’un monastere, exposé à toute tentation et à tout danger. Le prêtre seculier en est l’exemple par excellence. Seul parmi ceux qui prennant des voeux religieux, il ne s’occupe pas premierement de son proper salut, mais de celui des autres. Il doit atteindre à la sainteté dans le solitude, pas dans une communauté. Il doit préserver le détachement au milieu d’une multitude be distractions et de soucis banaux. Il est un sujet bien plus adapté au romancier, dramaturge, que le régulier parce quil y a dans sa vie bien plus d’action réciproque entre personnalités à de different niveaux, pendant que les rapports d’un moine sont surtout avec Dieu, intéressants peut-être plutôt pour un théologien. Meme chez des personnages qui prennant pas les voeux formels de pauvreté, de chasteté et d’obéissance, la vocation paraît dans littérature, caractérisée par un renoncement de la vie domestique, de la paix du Bonheur, des biens, temporels, par l’humilité, par la subjugation de soi et par l’intransigence, le refus de compromettre les valeurs. Le moine ausse a ses tentations particulières. Ce n’en est pas la moindre que le grossissment des petits ennuis et des antipathies de la vie quotidienne. Robert Browning le montre de façon assez énergique dans son poème Soliloquy of the Spanish Cloister.enCopyright Mary Elizabeth DebenhamTheses / Dissertations