Knight, Linda M.2014-08-202014-08-201963http://hdl.handle.net/10092/9532http://dx.doi.org/10.26021/4596On a beaucoup écrit sur le sujet du Roman de la rose, mais il y a manqué d’accord entre les opinions différentes; donc, je voudrais collationner brièvement quelques-unes de ces crtiques pour voir quelle soil la signification que l’auteur avait en vue, avant de presenter une etude textuelle. Le texte lui-même pose un petit problème, car il y a trois sections qui apparaissent dans le texte dont je me suis servi, l'édition de Francisque-Michel, qui ne doivent pas être inclues selon M. Ernest Langlois. Ces parties pourraient être assez capitales dans une interprétation des opinions de Jean de Meung, et je les discuterai davantage dans les chapitres suivants. Jean de Meung a change absolument le ton du poème, ce qui a irrité quelques critiques, ear il semble avoir oublié complètement l'allégorie de Guillaume de Lorris, ou sinon, avoir manqué à les continuer. Cette question est liée à la satire; car ceux-qui s’interéssent à l'allégorie méprisent souvent les bons points du poème. Il faut donc la discuter dans le chapitre introductoire. Le premier chapitre semblera peut-être peu pertinent au reste de cette thèse, mais ce sont des details importants pour comprehendre le poème entire, et j’espere donc que les observations préliminaires seront utiles. Le texte cite sera celui de Michel, et les vers seront numérotés selon cette édition, qui n’est pas définitive, mais qui est accessible dans cette ville.enCopyright Linda M. KnightLe Roman de la Rose et la satire socialeTheses / Dissertations